Dans 2 fuseaux horaires en même temps

Certes, je ne publie plus beaucoup dans ce blog et c’est certainement une erreur car sa vocation est de conserver mes états d’âmes durant l’aventure de la création de notre business en marketing relationnel.

Néanmoins, je conserve beaucoup plus de choses sous forme de vidéos.

Mon premier congrès international à Salt Lake City

Au mois d’avril, j’ai senti qu’il était grand temps que j’aille au congrès international sous peine de bloquer le développement de l’équipe.

J’ai cassé la tirelire, pris mon courage à 2 mains et je me suis débrouillé tout seul pour trouver où loger et comment organiser ma logistique en maintenant les coûts sous contrôle. Mais s’y rendre seul n’est pas le meilleure moyen d’obtenir du levier.

Comment faire pour que mon équipe, restée en Europe, en profite ?

Me transformer en journaliste et publier des vidéos en temps réel. En profitant du décalage horaire, je pouvais tourner une vidéo récapitulative de la veille le matin, publiée vers 9 h, soit 17 h en Europe et des vidéos de compléments jusqu’à 13 h (21 h).

L’après midi, j’étais tranquille pour me concentrer sur mon expérience sur place. Je pouvais échanger avec mon épouse juste avant de me coucher (au moment où elle se lève), et recommencer le lendemain.

La playlist de mon voyage à Salt Lake City

Finalement, j’ai publié les vidéos publiques, qui étaient destinées à Facebook, dans ma chaine Youtube.

Les contraintes de production

Pas question d’emporter mon macbook dans un tel voyage. Ceci explique que je ne pouvais éditer les vidéos.

Pas même couper le début et la fin.

Autre soucis que je n’avais pas anticipé : Le manque de place sur mon iphone. J’ai donc supprimé les vidéos au fur et à mesure du besoin de place et de leur publication.

Problème : J’ai tourné une très bonne vidéo à la sortie de mon rendez-vous au gouvernement mais je l’avais publiée nulle part.

Elle est donc perdue. Totalement écrasée.

Dommage car elle restera dans ma mémoire du fait étrange qu’il faisait chaud, très chaud à 17h sur le parvis du Capitole, une belle luminosité mais que mon corps me disait qu’il était 1 h du matin et que c’était le temps de dormir.

Étrange sensation.

On fera mieux l’an prochain.

En équipe cette fois.