Un an après – nos prévisions sur le Coronavirus

Ma proposition de valeur : Je vous montre comment travailler une FOIS et récolter pendant des années. Suivez ce lien pour recevoir un premier guide
Et maintenant voici l'article.

Pourquoi est-ce qu’on flippe tant ?

C’est la question que je posais à ma fille Annaïs Hurstel qui venait juste de terminer son cours sur la virologie. Il faut savoir qu’elle est étudiante en médecine en Allemagne.

Un an après le tournage et la publication de ce podcast conjoint à destination de nos 2 audiences, le moment est venu d’analyser.

Qu’est-ce que nous avions vu juste et en quoi nous nous sommes plantés ?

C’est ainsi que nous progressons dans notre capacité à anticiper l’avenir et agir au mieux.

La nouveauté fait peur

Je suis assez admiratif par la justesse de la synthèse de ses cours qu’elle nous a partagé. D’une manière générale, il semble que le Sars-Cov2 soit un peu moins contagieux que le taux de 2 à 3 qu’elle annonçait en mars 2020. Il ressemble à une grippe, soit 1 personne contagieuse qui infecte 1 à 2 personnes.

Imaginez que la rougeole se trouve 17 à 19 victimes dans les mêmes circonstances.

Le corps médical avait donc bien anticipé ce qui s’est passé et c’est vraiment l’aspect « nouveauté » qui a fait déraper le système.

Nous avions vu juste dans le fait que l’absence de traitement « validé » et de vaccin aurait un effet effrayant pour beaucoup de gens.

L’engorgement du système de soin

L’audience d’Annaïs est jeune et n’est pas vraiment menacée par la Covid19 et en ce sens, la suite a prouvé que le corps médical avait raison.

Leur principal risque est d’avoir besoin d’une hospitalisation et que personne ne puisse leur venir en aide parce que l’hôpital est saturé de cas Covid+.

Nous avions bien anticipé que les jeunes n’étaient pas menacés mais je dois avouer que nous avions sous estimé combien ils étaient concernés.

Je ne pensais pas qu’on allait drastiquement réduire leur vie à un écran durant un an parce que les populations âgées (Les plus de 30 ans en gros) sont si fragiles dans nos sociétés occidentales.

Les chiffres démontrent ce que je dis depuis 5 ans

Déclaration de transparence

Arrêtons nous un instant sur notre activité conjointe : Nous distribuons des compléments alimentaires parce que nous sommes persuadé que nos cellules ont besoin de niveaux de minéraux et anti oxydants qu’elles ne peuvent pas trouver de manière normale dans l’alimentation moderne avec les quantités ingérées par des personnes ayant une activité normale.

C’est un postulat et nous l’avons étayé par de nombreux exemples individuels, nos tests personnels sur nous même mais aussi sur la base d’études à grande échelle menées outre Atlantique et en France (Etude des infirmières, Suvimax 1 et 2, les guides Nutrisearch etc.).

Nous avons sélectionné la société qui nous semble la plus fiable dans ce domaine pour préserver nos réputations professionnelles.

Mon analyse des performances des pays

Durant l’année écoulée, populations et gouvernement se sont étripés et comparés pour savoir qui soignait le mieux.

Dans le podcast, je faisais le calcul de tête du nombre de mort possible et j’annonçais un peu rapidement un ordre de grandeur possible similaire à la grippe espagnole. Souvenez-vous qu’elle s’était propagée dans des populations moins nombreuses mais plus affaiblies par 4 ans de guerre mondiale.

Pour cadrer, j’avais rapidement dit

C’est possible qu’on atteigne 10 millions de personnes touchées en France et 400 000 morts, idem aux USA.

Je me suis planté vis à vis de la contagion en France, même si personne n’est fichu de la mesurer réellement, et le virus est moins mortel qu’on ne le pensait en mars 2020. Au moment où je tape ces lignes, 89 828 personnes ont succombé en France.

Ces chiffres froids ne doivent pas faire oublier que j’ai perdu un ami. Ce qui doit nous motiver pour traiter chaque cas individuellement et agir nous même pour notre santé.

Ce qui est étonnant, c’est que je sous estimais le nombre de victimes pour les USA : 543 722 en mars 2021, soit 1662 par million.

Admettons que mes calculs de tête ne valaient rien.

Mais alors, pourquoi le Royaume-Uni présente 1878 victimes par million (125 168 décès) ?

Personne ne pense à sa propre responsabilité vis à vis de son état de santé ?

Visiblement, non et pourtant les chiffres montrent ce que je soupçonnais.

Les anglais sont en mauvaise santé parce qu’ils mangent mal, sont peu exposé au soleil, et disposent d’un système de soin déresponsabilisant.

J’étais inscrit au Health Center

Je le sais car j’y ai vécu.

La santé est gratuite mais elle est de mauvaise qualité.

Du coup, tout le monde s’en fout et le résultat est pire qu’aux USA où le système de soin est un vrai risque, donc les riches et la classe moyenne supérieure investi dans la prévention.

Les français ne veulent pas le croire mais je pense que les 20 % les plus riches des américains sont en meilleure santé que les français.

A l’autre bout du spectre, c’est l’enfer. Ils cumulent les désavantages et le virus s’en donne à coeur joie.

Nous avions bien anticipé sur la vitamine D, la vitamine C et le Zinc

Dans ce contexte, je dois avouer ne tirer aucune fierté d’avoir anticipé et passé les 10 dernières minutes du podcast à parler de micronutriments. Avec le recul, nous n’avions presque pas parlé de la vitamine D tant c’est évident pour nous qu’on ne peut pas se contenter des apports journaliers recommandés, fixés à des niveaux risibles, et ensuite se plaindre d’avoir des ennuis de santé.

Ce qui est plus inquiétant, c’est le silence radio des médias et du corps médical pendant plus de 7 mois.

J’avoue que je suis presque surpris qu’ils aient finalement lâché le morceaux, sans parler de complémentation bien entendu.

Or qui retrouve-t-on dans les populations les plus en déficit de vitamine D ?

Les anglais, le nord et l’est de la France.

Qui retrouve-t-on dans les zones où le virus s’en donne à coeur joie ?

Je vous laisse tirer les conclusions mais c’est juste absurde d’attendre une étude en double aveugle quand on sait que la vitamine D ne coûte presque rien, ne présente aucun risque, et intervient dans 300 réactions du corps humain.

Qu’est-ce que vous attendez ? Découvrez les Cellsentials et les Biomegas, c’est la base quotidienne.

Là où j’avais raison et là où je me suis planté

Disons le tout de suite. J’ai mentionné les « 3 à 4 semaines à venir ». J’étais à côté de la plaque car cela fait 52 semaines que ce virus et les décisions du gouvernement dictent notre vie.

J’avais sous-estimé notre capacité collective à ralentir la propagation et la persistance de la bête.

Cela durera plus longtemps mais on n’arrête pas la nature. Encore 52 semaines et nous en serons débarrassés (Pour la corruption et l’incompétence gouvernementale, cela prendra plus de temps).

Ce dont je suis le plus fier, ce sont les masques FFP2

Jamais je n’aurais pensé dépanner des professionnels de santé durant ce mois de mars 2020. Nous n’en avions même pas parlé dans le podcast !

Lors de l’épisode H1N1, des masques avaient été acheté ça et là par les employeurs qui sont responsables de leurs salariés. Puis le temps a passé, les masques ont vieilli et certains ont trouvé normal de les jeter car les dates mentionnées indiquaient qu’ils sont périmés.

Les jeter me semblait aberrant.

J’ai pensé que si la situation doit être telle que nous avons besoin de masques filtrants, alors je préfère disposer d’un vieux masque que de rien du tout.

J’ai mis la main sur un stock qui partait à la destruction, je l’ai emballé dans une caisse à l’abri de la poussière et je l’ai rangé au sec à la cave à l’abri de la lumière.

10 ans, c’est long

J’avais oublié l’existence de nos masques.

Quand nous avons fini le podcast et que nous avons compris que la situation allait mal tourner, je suis parti en expédition à la cave à la recherche des masques FFP2 que j’avais emballé.

C’est alors que j’ai découvert que les médecins et infirmiers de ma ville n’en avait pas !

En pleine épidémie, les plus exposés étaient démunis. (Hors pandémie, sachez qu’ils ne valent que 10 euros pour une boite de 20 !).

Je les ai proposés à ceux qui en avaient le plus besoin.

Tout comme les entreprises industrielles de ma ville qui ont fournis des dizaines de milliers de masque FFP2 à l’hôpital (Annaïs a fini par y travailler et retrouver leurs masques qui étaient de la même génération !).

Même norme, même date.

C’est dire si la notion de responsabilité est importante ! Certaines personnes ont eu du flair et avaient des stocks de sécurité, même périmés.

Tous ceux à qui nous avons donné des masques ont dit merci et non pas ils sont périmés.

Nous prônons la responsabilité individuelle en matière de santé

C’est exactement ce que j’enseigne à mes filles. Prenez vos responsabilités et prenez vos compléments alimentaires.

Je n’ai pas changé de position par rapport au 25 mars 2020.

Investissez en vous.

Bien entendu les ressources financières se mêlent de la partie immédiatement mais ne me dites pas qu’un médecin ne peut pas immobiliser 200 euros pour son stock d’équipements de protection et 80 € / mois pour des compléments alimentaires !

Et pour les autres, vous aurez remarqué que nous avons une stratégie pour vous aider à les financer immédiatement, de sorte que vous n’avez pas à sortir d’argent pour prendre soin de votre santé.

Pensez aux soignants qui doivent trouver le temps long depuis un an et sont à bout de souffle parce que nous avons un système de soin mais que tout le monde se fout de la santé et de la prévention.



Découvrez La proposition #Volcanique en vidéo


0 Comments on “Un an après – nos prévisions sur le Coronavirus

Laisser un commentaire