Un repas qui tourne bien

Au moment d’aller manger, je rencontre des collègues avec qui j’ai plein de points communs : leurs enfants sont bilingues précoce, comme les miens. Même si leur seconde langue est l’allemand alors que la seconde langue dans ma famille est l’espéranto.

Et nous voilà partis à discuter de bilinguisme, d’école bilingue d’envoi des enfants en séjour linguistique, et autres manières d’obtenir plusieurs diplômes.

L’une des collègues fini rapidement et nous laisse car elle a un rendez-vous.

La discussion générale est une très bonne entrée en matière

Nous nous retrouvons donc à deux en train de discuter.

Au fil de la discussion, nous en revenons à parler d’inspiration et de désir. Je sens que j’ai progressé car cette fois, j’écoute beaucoup plus que je ne parle.

Et lorsque je prends la parole, c’est pour apporter un exemple à partir de quelqu’un que je connais.

Il y a deux jours j’ai appelé mon parrain canadien parce que skype vidéo et j’ai eu la surprise qu’il réponde en pleine partie de golf.

C’est une anecdote qui permet de raconter sa liberté de temps, d’espace et bien sur de moyens, qui lui permet de jouer au golf. C’est une très bonne manière d’illustrer la proposition d’Usana.

Vraiment, au cours de la discussion, j’étais très soft je n’ai pas parlé de l’opportunité d’affaires, je n’ai fait que donner des exemples de personnes que je connais. Jusqu’au moment où mon interlocuteur me dit

Mais c’est ce que je veux faire.

La preuve par l’exemple était tellement forte qu’il a fini par exprimer un désir d’entreprendre.

Quels changements par rapport à ce que je faisais il y a quelques mois !

Le savoir faire s’acquiert petit à petit

Je ne propose plus rien, je me contente de révéler les désirs latents. Il faut toutefois encore un peu de savoir-faire pour prendre rendez-vous, de manière à ce que cela ne se ne soit pas moi qui décide. Mais je progresse.

J’ai une date pour la semaine prochaine, le fil n’est pas rompu. Suite au prochain épisode.